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Post Ticha Béav, explorons la construction de couple à travers la notion de davak, le lien d'attachement. Comment faire pour s'attacher ou surtout pour ne pas se détacher ?
La génération du déluge est dépravée et ne connait aucune limite. Comprenons pourquoi il est si important de définir un cadre, des frontières.
ce cours peut également vous intéresser Béréchit et D. créa le manque
Notre 1er patriarche apparait dans cette paracha, Avraham Avinou, qui entend l'injonction de D' l'exhortant à aller à la découverte de son pays, mais aussi de lui même.
La Torah commence par la lettre Bet (2) et non Alef (1). Le commencement s'annonce donc dans la dualité, le ciel/la terre, la lumière/l'ombre, l'existant/le manquant...
Ce cours décrit le processus de reconnaissance de l’autre que soi à travers le don. Le geste du don est clé dans le rapport à l'autre. (1/2)
La Torah donne une place spécifique à la femme, découvrez ses 3 mitsvot et leurs significations afin de mieux comprendre le rôle de chacun et la complementarité dans le couple.
Ce cours décrit le processus de reconnaissance de l’autre que soi à travers le don. Le geste du don est clé dans le rapport à l'autre. (2/2)
Toldot renvoie à la trace qu'on laisse de soi dans ce monde, ce que l'on transmet à nos enfants: valeurs, convictions, ce qui donne du sens à notre existence.
Cette paracha est riche en mariages, naissances, vie de famille... ces mouvements poussent les protagonistes à changer de vie et sortir de leurs zones de confort. C'est ainsi que l'on grandit et développe son potentiel.
A travers les moments sombres décrits dans cette paracha, on comprend qu'il ne faut jamais baisser les bras. Se relever, lutter, avancer en est l'enseignement.
Apprenons à voir au-delà du visible, en s'appuyant sur la triade tragique (deuil, culpabilité, souffrance) décrite par Viktor Frankl. Face à l'épreuve certains sombrent, d'autres se relèvent.
Dans cette paracha remplie de nissim (miracles), nous explorons les relations dans la fratrie à travers le vécu de Yossef, personnage le plus émotif de la Torah.
Comment se rapprocher ? Comment trouver le ton juste ? La bonne distance ? Comment faire un reproche à ceux qui nous sont chers afin que ce soit constructif ?
Donner un nom (chem), c'est donner une direction (cham), un nom revêt une importance toute particulière... Ici, Mariacha se livre aussi sur son vécu.
Nous revivons chaque année le processus de sortie d'Egypte dans la paracha et à la table du seder de Pessah. Nous nous libérons de toutes nos entraves et sortons de la galouth (l'exil).
Ca y est, nous sortons d'Egypte et naissons en tant que peuple d'Israël ! Nous voyons apparaître dans cette paracha la notion de famille et se pose donc le vaste sujet de transmission à nos enfants.
Le détour que Moché emprunte pour mener les hébreux vers Israël nous apprend que les détours que nous faisons sans cesse dans nos vies doivent renforcer notre emouna (foi).
Moché présente la Torah au peuple d'Israël qui répond "Tous ce que D' a dit nous le ferons (Naassé) puis nous le comprendrons (VéNishma)", dans cet ordre ! Découvrons ici l'importance de l'action.
Cette paracha rassemble les mitsvot logiques qui régissent le contrat social, le "vivre ensemble", ainsi que notre système de justice.
Térouma est une sorte de don totalement désintéressé qui mène à la simha (la joie). Rejouissons-nous à travers cette paracha !
Pourim est le rendez-vous du "moi-adulte" et du "moi-enfant". En tant qu'enfant un simple déguisement m'apporte de la simha (joie) mais en tant qu'adulte... suis-je aussi déguisée ? Suis-je dans ma vraie vie ? Qui suis-je ?
Qu'est-ce que la simha (joie) de Pourim et Pessah ? Pourquoi grandit-elle en cette période ? Apprenons comment réparer ce qui est fracturé.
En finissant le Mishkan (tabernacle), Moché donne la plus belle bénédiction au peuple d'Israël. Elle continue de nous porter et de poser les bases de la construction de nos foyers.
A l'approche de Pessah ("Pé" - la bouche, "Sah" - qui parle), nous nous préparons à vivre une formidable séance de thérapie collective ! A travers la parole, nous nous remémorons l'histoire de notre peuple afin de faire chacun notre "sortie d'Egypte" individuelle.
Retrouvez les 15 étapes du Séder ainsi que leurs significations afin de vivre pleinement la fête de Pessah. (Version longue - 1h)
La 1ère tragédie de notre peuple est décrite dans cette paracha. Puisons de la force dans ce qui semble être nos faiblesses et renforçons ainsi notre émouna (foi).
Comment peut on devenir un être plus sensible. Qu'est ce qui nous constitue? Découvrons les tenants et aboutissants de la médisance.
Selon Rabbi Akiva, c'est dans cette paracha que se trouve l'élément fondateur de la Torah, "Aime ton prochain comme toi même". Comment travailler sur soi afin d'améliorer nos relations avec notre entourage ?
Les raisons de l'importance de Lag Baomer et de la hiloula de Rabbi Shimon. Quelle est la limite de nos relations avec les non-juifs.
Ce cours propose un travail de développement personnel sur le rapport à l'autre. En effet, améliorer ses relations avec soi-même, comme avec les autres, est au cœur de notre bien-être.
L'objectif de ce cours est de ressentir que nous passons d'un état désertique (bamidbar = dans le désert) à la fertilité. Tout est possible !
Après Chavouot, nous sommes chargés d'une mission. Non pas accablés par ce poids, mais anobli par la responsabilité de la Torah.
H' nous a donné un outil créateur exceptionnel : la parole. Toutefois, si cet outil est mal utilisé, il peut générer les plus grandes destructions de notre existence.
Après avoir reçu la Torah, les Bné Israël se préparent à entrer en terre d'Israël. Ils vont donc quitter leur bulle protectrice et leur connexion infinie avec D'. Comment fait-on pour vivre une vie normale, sans miracles, mais toutefois connectée à l'essentiELLE ?
Nous abordons dans ce cours les mécanismes de la dispute et de la jalousie. Comment faire pour connaitre sa propre mission et s'y investir ?
Nous abordons dans ce cours un sujet extrèmement difficile : celui de l'épreuve du deuil. La possibilité de refaire surface semble impossible mais H' nous enjoint de trouver des possibilités de fertilité même dans les moments les plus difficiles.
Le mauvais œil existe-t- il vraiment ? Comment fait-on pour travailler son regard afin d'obtenir "ayn tova" - un bon œil ?
A travers la requête des filles de Tsélofhad, nous explorons la dimension féminine présente dans le monde, ainsi que la complémentarité entre féminin et masculin .
Que signifie la destruction du temple de Jérusalem pour nous, juifs du 21ème siècle ? Que devons nous pleurer et comment réparer cette perte ?
Tou BéAv est la date de notre calendrier qui vient nous réconforter après la triste période des 3 semaines de deuil. Que se passait il à cette date à l'époque du temple? Comment acquérir la capacité à creer du lien et à retrouver un amour perdu ?
Dans ce cours, nous explorons la nécessité d'appartenance de l'enfant à travers la théorie adlérienne. Nous évoquons la définition de la notion d'éducation, à ne pas confondre avec "programmation" de l'enfant.
La confiance que nous accordons à nos enfants est à l'origine de tous ses apprentissages futurs.
La confiance que nous accordons à nos enfants est à l'origine de tous ses apprentissages futurs.
Comment améliorer nos relations avec notre entourage ? La famille proche, le couple et même entre belle-mère et belle-fille !
Mariacha nous délivre son ressenti alors qu'elle voit son fils faire ses premiers pas et rédige une prière que toutes les mamans peuvent s'approprier.
Toute personne est porteuse d'une néchama d'une grande pureté. Le mois d'Eloul est l'occasion de laisser parler librement sa néchama. Explorons la méthode dite d'hidbodedout.
Inscription au séminaire Bohi Kala 2023 en cliquant sur ce lien.
Le séminaire Bohi Kala "Pour apprendre à aimer" est une formation pour fiancées et nouvelles mariées animé sur 5 dimanches de suite par Mariacha Drai.
Retrouvez les 15 étapes du Séder ainsi que leurs significations afin de vivre pleinement la fête de Pessah. (Version express - 30min)
Le 15 Nissan nous mettons en scène la sortie d'Egypte comme si nous sortions aussi de cet emprisonnement chaque année.
7 jours après la sortie d'Egypte, les Hébreux se retrouvent face à la mer sans pouvoir rebrousser chemin puisque les Egyptiens sont après eux. Voie sans issue ?
Pessah Cheni, le 2e Pessah. A travers les enseignements de Rabbi Meir Baal Haness, nous prenons conscience que nous avons toujours une session de rattrapage, il n'est jamais trop tard.
Comment mettre de la lumière dans nos foyers ?
Hanouka fait briller notre maison mais apprenons à nous faire briller nous aussi. Donnons-nous les moyens de nous développer et grandir.
Souccot est le temps de la simha (joie). Le bonheur n'est pas un état naturel, il s'apprend... comment apprendre à être heureux ?
Le cours préféré de Mariacha ! Le potentiel de la journée de Kippour est infini, réjouissons-nous ! Nos fautes ne nous définissent pas, notre téchouva (retour vers nous-mêmes) nous aide à comprendre qui nous sommes vraiment.
Nouveau départ, Roch Hachana, marque nos progrès année après année et nous donne l'impulsion d'avancer toujours plus.
Sans être mystiques, notre table de Roch Hachana se transforme pourtant en une succession de signes... à découvrir!
Cours d'introduction au livre Alei Chour de Rav Wolbe sur le travail des midot (traits de caractère). Lien entre interiorité et exteriorité. L'effet des tout petits actes.
À toi la mamie, qui prépare ton tout petit seder cette année, en pensant aux plats que tu as préparé avec amour l'an dernier, en chantant pour chacun de tes petits enfants.
Tu connais par cœur leurs goûts, leurs désirs et à chacun sa gâterie... c'est ton plaisir !
À toi, ma chère kala ! Toi, kala de l'été 2020, kala alors que sévit le corona. C'est pour toi que je voudrais écrire ces quelques lignes. Toi qui as rêvé depuis toute petite à ce jour où tu seras la princesse. Toi qui voulais te marier en Israel, dans un lieu exceptionnel où...
Cher moré, Chère mora !
Vous qui avez accueilli mon enfant ce matin, devant la porte de cette classe, pour quelques heures par jour, pour quelques jours dans la semaine, pour quelques mois de l’année à venir...
Découvrons d'après les 4 éléments de la création, les 4 grands types de caractères.
Les deux écueils du travail sur soi: la résistance et l'orgueil.
On appréhende chaque année cette période de téchouva, et plus encore son point d’orgue, Yom Kippour. On se dit ‘Il faut bien passer par là, remettre les pendules à l’heure… Souccot qui approche me redonnera de la joie’.
Pourtant, mieux comprendre la beauté de cette période nous permettrait, au contraire, de la languir. De désirer cette possibilité de retour à la proximité et à l’authenticité qui nous est offerte.
Cette année, Rosh Hashana tombe avec la rentrée des classes et cela fait sens. Nous découvrons en effet les nouveaux professeurs de nos enfants et nous avons nous-mêmes de nouveaux projets pour la rentrée … Tout cela s’inscrit à merveille dans l’esprit de la fête, dans le hidoush et la nouvelle année.
Conformément au thème de ce moment, nous allons parler de bonheur, de simha ! Nous entrons dans Souccot et cheminons vers le summum de cette période : Simhat Torah, la joie de la Torah.
Ce shabat, nous lirons la parasha de Ki Tavo, nous nous situons dans le cinquième livre de la Torah, qui touche à sa fin. C’est bientôt Rosh Hashana, bientôt simha Torah et la réouverture du livre de Bereshit.
Nous allons découvrir dans ce cours le secret de l'enlacement de la soucca.
À travers les enseignements de Rabbi Nahman, nous verrons que les paramètres du bonheur authentique sont accessibles.
A Simhat Torah, nous avons achevé la lecture de la Torah que nous reprenons désormais. Nous voilà donc remplis de projets pour l’année à venir.
Rentrée des classes, rentrée spirituelle également. Nous allons entreprendre d’y trouver des outils afin de mettre en place tous les projets qui ont été les nôtres au moment de Tichri. Il s’agit de faire en sorte que nos bonnes résolutions s’inscrivent dans la réalité.
Dans ce cours nous allons apprendre comment éduquer nos enfants a aimer les mitsvots et la torah et comment leurs transmettre le plaisir spirituel.
Et si pour bien commencer sa journée il suffisait d'une chanson pour entreprendre joliment son voyage avec une téfila pour la réussite de toutes tes entreprises...
Choméa Téfila, Bénis sois tu qui écoute les téfilot ! La suite sur le lien vidéo....
Notre parasha est celle de l’émergence d’Avraham avinou, le premier agitateur de l’humanité. A notre tour de nager à contre-courant à travers la lecture de cette parasha. Une forme aboutie de société émerge enfin cette semaine, grâce à Avraham et Sarah. L’humanité est alors conduite vers une transformation, vers un embellissement. Avant que n’intervienne le Lekh lekha de cette semaine, nous avions assisté à des phénomènes attristants et proches de la décadence de notre époque.
Notre existence est faite d'une dualité absolue : le corps et l'âme. Explorons dans ce cours ce qui fait notre singularité et tentons de découvrir comment accéder à une plus grande authenticité à l'intersection de l'être et du paraître.
La Torah nous invite à découvrir 2 postures différentes en miroir : celle de Sarah face à l'épreuve et dans son lien à Itshak et celle de Agar qui refuse son sort et qui sombre dans l'auto destruction . Explorons à travers ces 2 postures notre rapport à l'épreuve.
Pensez vous qu’il faudrait qu’elle dise à sa cousine Mehila et qu’elle lui rende directement la poupée? Ou est ce qu’il faut qu’elle la repose discrètement chez sa cousine sans que personne ne le sache?
Qu’en est il du domaine du couple ? De même que nous recherchons du renouveau dans les divers aspects de notre existence, il nous est fondamental que notre couple puisse également se régénérer régulièrement.
Telle une route tracée il y a 3500 ans, nous avançons pas à pas, jour après jour, de Pessah jusqu’à Shavouot, vers le Mont Sinaï, lieu de la Révélation Divine.
Notre Torah commence comme nous le savons par la lettre ‘beth’ ב ,deuxième lettre de l’alphabet, lettre qui caractérise l’absolue dualité de notre être et de notre monde.
Cela fait des années que je tente, avec difficulté, d’explorer le thème de la sensibilité. Je le cherche dans la Torah et dans ses commentaires, je le cherche dans mes rencontres, dans mes lectures, à travers
mes différents patients...
Notre parasha s'ouvre avec une négociation - lors de l'achat d'un champ - qui semble anodine.
En réalité se cache dans ce passage tout ce qui sous-tend l'engagement d'un homme dans son mariage.
Découvrons cet engagement ainsi que le principe de complémentarité nécessaires à l'émergence d'un couple.
Le mois de Kislev est là, et avec lui, notre rencontre annuelle avec le miracle.
Depuis tout petits, nous connaissons la merveilleuse histoire du miracle de Hanouka, symbolisée par la fiole d’huile d’olive pure qui ne pouvait brûler qu'un jour et qui pourtant a duré 8 jours !
Que produit on sur cette terre ?
Nos 'Toldot' sont les produits de notre vie : nos enfants mais aussi les mots que nous exprimons .
A travers le silence et les mots des personnages de la parasha, découvrons comment produire une parole fertile. ainsi, les mots ne créeront pas de maux ....
La paracha s'ouvre avec les larmes de Jacob à la vue de Rachel. Et ainsi, nous continuons de découvrir la richesse et la diversité des émotions présentes dans ce texte. Ce sont toutes les souffrances du féminin qui se déclinent dans cette parasha et qu'on ne cesse de lire et relire avec émotion !
A l'aire des multiples applications qui facilitent la rencontre, il semble qu'il soit paradoxalement de plus en plus difficile de faire de vraies rencontres et de s'autoriser à tomber amoureuse. Qui est cet autre fantasmé que nous recherchons ? Sommes nous capable de nous percevoir comme manquant ? La création du premier couple dans la Torah évoque cette question essentielle.
Cette parasha , à travers la rencontre entre Yaacov et son frère, préfigure le lien entre Israël et les nations lors de l'exil.
C'est aussi ce lien que nous explorons lors de l'épisode douloureux du viol de Dina.
Quel est notre rapport au monde et au visible ?
L'enjeu de cette parasha est de réussir à traverser la matière sans se laisser aspirer par elle.
La particularité de Yossef , qui se situe au cœur de cette parasha, est de savoir préserver et même développer sa singularité . On pourrait dire de lui qu’il est la force de la résistance.
Il est le véritable auteur de la chanson « Résiste, prouve que tu existes » !
Découvrons, grace à l'histoire de Yossef et ses frères comment donner à chacun de nos enfants un sentiment d'unicité et d'importance et valorisons la singularité de ceux qui nous entourent.
La flamme de hanoukka symbolise l'intériorité.
Elle est toujours l'expression d'un désir de paix.
Découvrons les secrets de la flamme qui nous mènent vers une paix avec nos proches ainsi que vers une paix avec nous même, avec notre propre spiritualité ....
Yossef vit la pire situation qu'il puisse être donné de vivre : vendu pas ses frères, esclave en Égypte, accusé d'un crime qu'il n'a jamais commis , il est OUBLIÉ dans un cachot .....
La où il semble ne plus y avoir aucun espoir, sa situation va se transformer du tout au tout. Notre plus grande inquiétude dans la vie est d'être un " OUBLIÉ" de la vie.
A travers l'histoire de Yossef et celle de Hanoukka, nous découvrons nos ressources et notre mémoire !
On a tous entendu de beaux nissims BHm autour de la segoula de la lettre à Hashem restée sur notre hannoukia depuis זאת חנוכה תשפ״א.
BHm tous ces nissims sont magnifiques et renforcent tellement notre emouna en Hashem. אין עוד מלבדו !
J’aimerai partager un message un peu différent pour tous celles et ceux à qui Hashem a murmuré avec amour « Encore un peu de patience… ».
Nous voici à l’aube d’une nouvelle année, où à nouveau l’enjeu sera de se tenir devant le Roi des rois, avec un projet clair qui nous permettra, on l’espère, de faire mieux durant l’année 5782.
Yossef, est le personnage biblique qui incarne la paix.
Nous explorons dans ce cours sa capacité à s 'extraire de la tendance naturelle qui consiste à chercher les responsables de nos malheurs.
Nous découvrons également l'intelligence supérieure de Sérah bat Asher qui permet de créer une unité dans un contexte chaotique.
Nous terminons le livre de berechit avec la Vie ( vayéhi ) qui se réalise à travers la transmission et la continuité.
La vie qui est élargissement et amplitude est entravée par le jeune du 10 Tevet qui renvoie à la limitation et à la tentative de rendre fini ce qui relève de l'infini.
La Paracha de Chemot est une paracha où se côtoient la vie et la mort l'esclavage et la liberté, c 'est la paracha de tous les paradoxes.
Moche y tente de se faire l' écho de la question la plus énigmatique : quel est le nom de Hachem ?
L'exil Egyptien préfigure tous les exils suivants. L' exil n'est rien d'autre que l' effet d'une sexualité dévoyée qui extraie de l'histoire des Avot. La gueoula ne pourra venir que quand Israël aura compris qu'il est dépositaire de la confiance donnée par tous ceux qui l'ont précedé. Ce cours a été donné suite au scandale concernant le prédateur sexuel (affaire walder)
Nous pensions être enfin sortis d'affaire lors de la sortie d'Égypte mais nous voici à nouveau confrontés au pire devant la mer des joncs, l'armée aux trousses !
Comment sortir d'une voie sans issue ? Où trouver l'énergie nécessaire pour refaire surface quand on se sent perdu .
Où se trouve le GPS de la vie ?
Dois je m'acharner quand une situation me résiste?
Autant de sujets passionnants abordés dans cette nouvelle étude ;-)
La révélation sinaique a eu lieu il y a 3500 ans mais cette voix venant du Ciel est une voix qui n'a jamais cessé de parler .
C'est une révélation qui se produit en continu et qui permet au peuple " élu" de pouvoir être à chaque instant "ré-ELU "
Sommes nous à la hauteur de cette élection ?
Dans ce cours, nous avons réduit les 10 commandements en 5 phrases qui doivent nous accompagner en toutes circonstances .
Apprendre a déceler le manque chez l'autre. Le visage, la porte vers l'âme.
Cours concernant le douloureux sujet des agressions sexuelles. Nous tentons de comprendre le silence de la victime à travers sa psychologie. Qu'est ce que la mémoire traumatique ? Pourquoi les victimes sont elles le plus souvent dissociées ?
La Torah nous a été donnée afin de rédimer le monde. Cette semaine nous découvrons des lois sociales présentées telles une table dressée .
Découvrons le goût qui émane de cette table: le goût de soi et le goût des autres.
Voyageons encore plus en profondeur dans l'univers de l'altruisme. Comment s'éduquer à juger avec bienveillance , à ne pas médire et ultime niveau : à être présent pour apporter à l'autre une épaule qui puisse l'aider à porter ce qui le chagrine … vaste programme !
Nous avons tous tendance à vouloir garder le contrôle sur notre vie pour nous sentir en sécurité. Toute fois, on ne peut avancer sereinement dans notre vie sans lâcher prise. C’est le Bitahon (confiance en Dieu ) qui est aux commandes du lâcher prise .
Que ce soit au sein de la fratrie ou dans le couple, le foyer est bien souvent le lieu de trop de tensions. Découvrons quelques outils qui vont nous permettre d’envisager des relations apaisées.
Le colérique est une personne qui réagi d’une façon impulsive et violente quand une chose ne correspond pas à leur attente. Pour tempérer la colère nous nous devons de faire un travail minutieux sur là patience. Dans ce cours nous découvrirons les différents niveaux de développement personnel .
Après l’émotion du Sinaï , saurons nous rester connectés au Ciel ?
Allons nous vivre une torah en mode pilotage automatique ou saurons nous garder l’intensité du Sinaï ?
Le Michkan trait d’union entre le ciel et la terre nécessite des actions impulsées par des intentions . Nous allons découvrir à travers ce lien le secret de la Simha (joie)
Cette paracha s'ouvre avec l'ordre d'allumer le candélabre avec de l'huile d'olive . Le midrash compare cela à la colombe qui porte un rameau d'olivier pour signifier la fin du déluge . Ce monde a besoin de lumière et Moshé, à travers son apparente absence de cette paracha, va révéler la plus grande des présences . Inspirons nous de cette paracha pour remplir nos maisons de lumière !
Intériorité et extériorité sont les deux termes qui expriment l’irréductible dualité de l’humain.
Cette dualité a été posée dès les premières lignes de la genèse. En effet, le sixième jour de la création du monde, alors que l’univers et tout ce qu’il contient est prêt à accueillir l’humanité, le texte de la Thora introduit l’homme dans le cosmos à travers une description explicite de sa dualité
Ki tissa est une paracha qui nous invite à grandir comme l’indique son titre.
Pourtant ce désir de hauteur, quand il est mal orienté peut générer des erreurs colossales.
En quoi consistait vraiment la faute du veau d’or ? Quelle a été son utilité ?
La paracha de Pékoudé conclut le livre de Chemot - de la Gueoula- par les félicitations de Moshé pour la parfaite fabrication du mishkan .
A l'entrée du Mishkan, la cuve en cuivre est composée de miroirs dont la fonction est de transformer un regard tourné vers soi en regard qui inclut l'autre .
Cette capacité proprement féminine bouleverse le rapport au manque en initiant de la créativité et un lien altruiste .
Ainsi, Esther va délivrer Israël du décret de mort en recréant l'unité d'Israel .!
Alors qu'Hamman a décidé de son plan génocidaire, la reine Esther ne souhaite pas se rendre chez le roi argumentant qu'elle n'a pas été appelée depuis trente jours ...
En écho, à cette crainte d'Esther, nos propres peurs se dévoilent : le Roi veut Il de moi ?
Amalek est celui qui, de tous temps, tente de nous convaincre que tout est le fruit du hasard. Ce shabat zakhor, nous effacerons le souvenir d'amalek et entendrons également l'appel personnel d'H' à travers le mot VAYKRA qui ouvre le livre de la proximité.
L'humanité toute entière est à la recherche de ce qui peut apporter la joie au quotidien.
Celle ci semble nous échapper alors que nous déployons de nombreux efforts pour l'atteindre .
Comment nos sages ont ils défini la joie ?
Existe t il une méthodologie pour l'atteindre ?
Pourim revêt des allures de carnaval avec son lot de déguisements, d'ambiance festive, de mets et de boissons.
Pourtant, les déguisements ne sont là que pour nous faire prendre conscience d'un monde mystérieux, profond, secret et intérieur , au delà du visible ...
Tentons de comprendre le secret de Pourim a travers cet étrange conseil du Talmud : boire jusqu'à atteindre l'ivresse !
Le monde a été créé avec 2 polarités majeures : l'une féminine et l'autre masculine .
Comment les Sages de la kabala ont ils défini les principes féminins et masculins ?
Comment peut on décrire le rôle de la femme dans la tradition juive ?
Ce cours présente une succinte exploration des genres dans la Torah.
La fin de Pourim est, bien souvent associée à la crainte du ménage de Pessah.
On s’active pour faire disparaitre le Hametz, pour se préparer à célébrer « la fête de notre liberté ».
Mais est-ce l’état d’esprit dans lequel nous devons entrer dans le mois de Nissan et la fête de Pessah ?
Comment réussir cette transition entre Pourim et la joie qui l’accompagne, et Pessah ?
Essayons de comprendre la puissance du mois de Nissan, pour faire fleurir des forces nouvelles… !
Ce Chabat, Chabat Tazria correspond également à Chabat Ha’hodesh, Chabat qui annonce Rosh Hodesh Nissan, l’arrivée du printemps et le renouveau de la nature.
La première Mitsva de la Torah est ordonnée, Mitsva qui nous demande de sanctifier le nouveau mois.
« Et il sera pour vous le premier des mois de l’année ». Nissan, premier mois de l’année ? Qu’en est-il de Tichri, et Rosh Hachana ?
Accompagnées de Rabbi Eliezer, Rabbi Yehouchoua, et le Rabbi de Loubavitch, découvrons comment apprendre à redynamiser notre Emouna, à réveiller notre intériorité, pour déclencher un mouvement d’En haut, et voir nos miracles se réaliser !
Ce soir, nous entrons dans Chabat Hahodesh mais également, Rosh Hodesh Nissan !!
Prenons quelques minutes pour en découvrir la puissance, se préparer à ce Chabat d’exception, pour ainsi en profiter pleinement!!
Chabat Chalom, et Hodesh tov !!
L’heure du ménage a sonné!! Nous nettoyons chaque recoin de Hametz, préparons notre maison à accueillir Pessah.
Seulement, cette préparation matérielle de la fête, sous tend une préparation spirituelle : en chassant le hametz de notre maison, nous chassons l’orgueil dans notre cœur.
Ce chabat, à travers la paracha Metsora et le thème du Lachon Hara, explorons comment réussir à se préparer à la fête de Pessah !
Le soir du Seder renferme une puissance, une intensité incroyable ! Alors que les préparatifs battent leur plein, et que l’effervescence de la fête se fait sentir, explorons la signification des étapes du
Séder, pour mieux s’y préparer.
15 étapes, qui ont toutes leur signification. 15 étapes, qui peuvent nous aider à découvrir celle que l’on est, et à se libérer des verrous de notre existence. 15 étapes, pour nous permettre, enfin, de sortir de notre « Égypte » Pessah Cacher Vessaméah !
Nous sommes à la veille du septième jour de pessah, septième jour donc après la nuit de notre libération. C’est précisément le moment où historiquement le peuple hébreu se trouve pris en tenaille entre la mer rouge et les égyptiens qui les poursuivent. Cette nuit là, la mer s’ouvre et nous vivons la plus incroyable expérience collective de tous les temps. C’est une étape clé dans l’apprentissage de la Emouna.
Pessah est terminé, et laisse place au compte du Omer qui nous rapproche et nous prépare à Chavouot et au don de la Torah.
Quarante-neuf jours, soit 7 semaines, qui chacune représente une middah que nous pouvons travailler.
Cette semaine, explorons celle de Guevoura, la rigueur, la discipline héritée de Itshak.
Découvrons comment acquérir des clés pour apprendre à gérer au mieux nos relations!
La paracha Kédochim présente la notion de Kédoucha - notion très abstraite et essentiellement réservée à D… - qui pourrait pourtant s’appliquer pour l’homme.
Qu’est ce que cela signifie « être Kadoch »? Comment y parvenir ?
Rabbi Akiva, grand maître de la Torah, nous enseigne comment accéder à cette kedoucha, à une unité du peuple juif malgré les différences de chacun, par le Kavod et le respect d’autrui.
La Azout - l'audace - est une qualité qui peut nous permettre de trouver de nouvelles opportunités, et d'apprendre à se renouveler.
Pourtant quelle est la frontière entre l'audace qui parait nécessaire pour avancer, et la Houtspa, l'insolence et l'orgueil?
Comment trouver le bon équilibre pour s'épanouir et développer notre potentiel ?
Chaque jour du Omer qui sépare Pessah de Chavouot nous invite à faire un travail personnel afin de nous bonifier pour recevoir la Torah.
A chaque semaine du Omer correspond à une mida, un trait de caractère.
Celle de la semaine actuelle est particulièrement difficile à travailler et fondera le thème de ce cours.
La paracha Béhoukoutaï, lue avant Chavouot, nous enseigne l’importance de l’investissement dans l’étude de la Torah. Donnée en héritage, la Torah doit pourtant s’acquérir par l’étude, par l’effort.
Comment expliquer ce paradoxe: la Torah est-elle héritée ou méritée ?
Yom Yeroushalaim, Célébré juste avant Chavouot, est un jour d’unité pour le peuple juif.
A travers l’histoire de Ruth, et Naomie, lue à Chavouot, apprenons à découvrir nos ressources et à devenir l’arbre fruitier qui sommeille en nous.
Il y a quelques jours, nous recevions la Torah au mont Sinaï !
À nous d'accomplir au mieux la Torah et la mission qui nous est donnée !!
Pour cela, tirons des forces à travers la Paracha de cette semaine avec la bénédiction des cohanims, l'histoire du Nazir et de la femme Sotah.
Les relations belle mère / belle fille sont bien souvent sources d'incompréhension voire de conflits.
Découvrons certains mécanismes qui sont à l'œuvre au sein des familles.
Le livre de Bamidbar relate les difficultés du peuple dans le désert, leurs réclamations et plaintes. Quels sont les mécanismes de la plainte et de l'insatisfaction ? La plainte pourrait-elle être un Moteur pour faire jaillir de nouvelles ressources ?
Pour y répondre, retournons à l'origine de la création du monde.
La parole renferme une puissance dont l’impact est souvent sous-estimé.
A travers le périple des explorateurs, la Paracha de cette semaine nous invite à en prendre conscience, pour apprendre à manier cet outil que peut être la parole.
Grâce à vous, l'association essentiELLE a pris un essor considérable cette année ! Nous nous sommes agrandis et avons développé de nouveaux projets ! Merci pour votre soutien ! ❤️
La paracha de Korah illustre une douloureuse dispute, source de division au sein du peuple d’Israel.
A partir de cet exemple caricatural de dispute, découvrons les enseignements à en tirer, afin d’apprendre à construire le Shalom, la paix.
La Hafhchat Hala est une des trois Mitsvotes phares de la femme juive.
Les mains à la pâte, à la matérialité, la femme juive a cette capacité de connecter le matériel au spirituel, et de construire un pont entre le Ciel et la terre.
A travers Bilam et sa tentative de malédiction sur le peuple juif, la Torah développe la notion du mauvais œil.
Par cet exemple, elle nous incite à développer notre Ayn Tova, un bon œil, pour apprendre à voir au delà des apparences.
La paracha Pinhas nous présente plusieurs personnages qui ont fait preuve de zèle pour Hachem: Pinhas, et les filles de Tselophad.
Lue à une période sombre du peuple juif, cette paracha nous donne des clés pour affronter ces vingt-et-un jours de tristesse qui séparent le jeûne du 17 Tamouz et le 9 Av.
Dans cette deuxième partie sur les relations belle mère-belle fille, explorons plus en profondeur les mécanismes psychiques des relations humaines pour nous permettre d’appréhender nos relations belle mere- belle fille.
Le 9 av , nous sommes endeuillés. Nous pleurons la perte du lien , l'oubli de la proximité. L'exil est dispersion et pour avancer vers la geoula nous devons recréer du lien grâce à notre ECOUTE .
Savons nous être à l'écoute réellement ? Comment faire pour cesser de s'éparpiller et se tourner vers l'autre pour lui accorder toute notre attention ?
Il y a quelques années, je confiais un de mes enfants à son professeur à la rentrée.
L'année précédente avait été terrible pour lui, mon enfant avait été humilié , dévalorisé, brutalisé....il était devenu l'ombre de lui même. Après l'avoir déposé ce matin là , j'ai rédigé ce texte .
Aujourd'hui, il peut encore servir, vous pouvez l'afficher en salle des professeurs! Bonne rentrée à tous!
Le mois d'Eloul nous donne l'opportunité de répondre à une question essentielle : suis je en phase avec moi même ?
La violence inhérente au monde a t elle induit chez moi une banalisation du mal ?
Suis je capable de retrouver ma beauté intérieure et d'aider ceux qui m'entourent à faire de même ?
Autant de questions passionnantes que nous explorons cette semaine à la mémoire de notre cher soldat Natan Avraham.
Amener les prémices de ses fruits au temple , c’est faire preuve de reconnaissance envers le Créateur du monde pour tous les bienfaits qu’il nous prodigue.
Remplis par sa bénédiction, nous pouvons alors donner notre maaser c’est à dire se réjouir et réjouir d’autres.
A l’approche de Roch Hachana, découvrons comment le son du shofar nous rend libre et nous permet de créer un lien différent avec Hachem et avec ceux qui nous entourent!
La tefila de Rosh hachana donne en exemple des femmes qui ont su prier et exprimer leur voix - leur Kol - vers Hachem.
Éprouvées, Sarah, Hanna, Rahel, ont épanché leur cœur vers le Maître du Monde, nous montrant ainsi la puissance de cet outil.
A l’approche de Rosh Hachana, découvrons les voies de la Téchouva à privilégier pour une connexion durable avec le maître du monde, notamment grâce aux enseignements du Baal Hatanya.
Le jour de kippour est un un jour de grande joie car nous comprenons que l'on peut toujours réparer.
Deux grands axes orientent notre réflexion ce jour là :
Notre rapport à H', Notre rapport à ceux qui nous entourent.
Comment faire pour nous améliorer dans ces 2 domaines essentiels?
A travers les grands moments de cette journée, découvrons des pistes de réflexion!
À l'intersection de Souccot et de shemini atseret se trouve HOSHANA RABA . Le septième jour de souccot porte en effet un message fondamental mérite toute notre attention. Découvrons l'enjeu de la ARAVA
et sa prière envers la terre à travers les coutumes de cette journée . Apprenons ainsi à prendre totalement appui sur H’ et à créer une vie de Arvout !
A travers le récit de la création du monde, de l’homme et de la femme, la Paracha Berechit nous expose deux forces selon lesquelles le monde fonctionne: une force masculine et une force féminine.
Ces mêmes forces ont dirigé les actions de Noah, le personnage principal de notre paracha. Tentons de comprendre, comment fonctionnent ces deux forces, pour nous permettre de construire un monde meilleur.
Le monde fonctionne selon deux forces différentes et complémentaires: une force masculine et une force féminine. Comprendre le fonctionnement de ces deux forces, va nous permettre de comprendre les différences dans les comportements masculins et féminins. A l’heure où le monde change et dévoile de nouvelles problématiques, la Torah entre dans la psychologie humaine, pour nous aider à comprendre la beauté de la relation entre homme et femme. Retournons à la source, à Berechit et à la création de l’Homme pour nous aider à répondre à ces nouvelles questions de société.
Dans la paracha Le'h-Le'ha, Avraham, père fondateur du monothéisme, reçoit l’ordre de quitter son pays natal. Guidé par sa Emouna, il se dirige vers l’inconnu. Par cette image du mouvement et du déracinement, Avraham nous enseigne comment se connecter à son moi profond. Pour cela, une condition: s’extraire de nos croyances limitantes.
Dans la paracha Vaera, Avraham est confronté à de difficiles épreuves : la destruction de Sodom, le renvoi de son fils Ichmael. Incarnant la midda du Hessed - du don - Avraham doit faire face à la rigueur.
Des questions émergent alors: Le Hessed a t- il des limites ? Peut-on n’être que dans le don? La rencontre entre le Hessed entier d’Avraham et la rigueur qu’il a dû développer pour faire faire face à ces épreuves, nous montre la nécessité d’un équilibre dans nos traits de caractère.
Rahel Imenou incarne la mère du peuple juif. Enterrée en chemin, elle est accessible, et à l’écoute de tous ceux, qui éprouvés, cherchent à épancher leur cœur. Elle a ce mérite, d’être celle qui est particulièrement écoutée lorsqu’elle intercède en notre faveur. Pourquoi un tel mérite ?
Revenons sur son histoire, sur ses qualités, pour comprendre un peu plus l’impact qu’elle a eu sur l’histoire de notre peuple.
Dans la paracha Toldot, Yaacov et Éssav rivalisent pour obtenir la bénédiction de leur père Itshak. Étonnement, la Torah mentionne les liens affectifs privilégiés entre Rivka et Yaakov, et entre Itshak et Éssav.
Par l’histoire, le comportement et les réactions de nos ancêtres, la Torah explore la complexité des relations parents-enfants, et nous enseigne le rôle que doit jouer un père, une mère et un fils.
L'homme est né unique et singulier du fait de sa neshama- étincelle divine- source de notre vitalité. Le monde moderne rend à créer un modèle humain uniforme.
Comment faire pour expérimenter notre singularité et ne jamais tomber dans le piège du conformisme ?
Dans la paracha Vayetse, Yaakov fait la rencontre de Rahel. Trompé, il épousera d’abord Lea, soeur de Rahel.
A travers les personnalités de Rahel et Léa et les relations de couple de nos patriarches, la Torah nous enseigne les clés pour fonder une relation de couple durable.
Le monde obéit au principe d’homéostasie, d’équilibre, de mesure. Nos traits de caractère doivent être mesurés, atteindre un certain équilibre. Notre organisme fonctionne également selon un équilibre.
L’éducation obéit à ce même principe : elle est la juste mesure entre le don, la permission d’une part, et les limites, contraintes et interdictions d’autre part.
Comment trouver cet équilibre ?
Puisons dans la sagesse de la Torah et de la psychologie pour le découvrir.
La paracha Vayichlah met en évidence la notion de solitude: Yaakov est décrit comme étant « seul - Levado » dans la fameuse lutte contre un homme. Tentons de comprendre ce qu’il signifie afin de pouvoir, nous aussi, apprendre à sortir de notre solitude et à enrichir nos relations.
La paracha Vayechev est la paracha de la division, de la souffrance: une famille est divisée par la vente d’un frère - Yossef, Yaakov reste inconsolable de la perte de son fils, et Tamar souffre dans l’attente d’une construction qui ne vient pas.
Pourtant, la Hassidoute nous offre une belle lecture de la paracha, une lecture pleine d’espoir et de lumière. A l’approche de Hanouka, apprenons à faire jaillir plus de lumière dans ce monde !
Cette année, Mariacha et Laureen réalisent ensemble les beignets de Hanouka!
Hanouka Sameah!
Hanouka est une fête centrée sur la transmission de la flamme juive à nos enfants. Comment aider nos enfants à ressentir leur intériorité et leur consistance dans un monde qui pousse à l'assimilation?
Une bonne estime de soi produit une énergie constructive qui permet à l'enfant de s’ouvrir à la nouveauté, à l’inconnu, à l’autre. Comment faire pour renforcer l'image de soi auprès de nos enfants ?
La paracha Vayé’hi est celle du lien intergénérationnel et de la transmission : Yaakov bénit ses enfants et petits-enfants, en mettant en valeur les qualités uniques de chacun.
A travers les bénédictions de Yaakov à ses enfants, et en rapport avec le jeûne du 10 tevet, qui marque la perte du lien avec notre Créateur, notre paracha nous enseigne comment rester connecter avec la Torah et notre héritage.
Quand un comportement est inaproprié , nous réagissons generalement à travers de multiples reproches ou critiques .
Les devoirs non faits, chambre désordonnée , enfants qui se chamaillent ...autant de situations qui nous font exploser.
Quels sont les effets des critiques sur nos enfants et existe t il une alternative ?
Cette semaine, débute la terrible épreuve à l’échelle collective pour les enfants d’Israël, avec l’esclavage en Égypte.
Asservis, opprimés, les Bnei Israël font preuve de résilience et courage. A travers leur exemple, les femmes juives, et sages femmes en Égypte, sèment cette notion fondamentale de « choisir la vie », commandement qui suivra le peuple juif tout au long de son histoire.
Dans la paracha de cette semaine, sept plaies s’abattent sur l’Égypte et malgré tout, Pharaon s’entête et refuse de faire sortir le peuple d’Israel.
De son comportement, nous pouvons découvrir les outils pour faire taire le Pharaon qui sommeille en nous, et ainsi faire émerger une nouvelle forme de sagesse : le Dahat.
Dans notre Paracha, se trouve la première Mitsva donnée au peuple d’Israel: celle de sanctifier le nouveau mois, Rosh Hodesh.
Dans l’obscurité de l’épreuve, dans les difficultés de la vie, la mitsva de Rosh Hodesh nous enseigne comment atteindre des capacités de renouvellement, de fertilité et accéder à une estime de soi.
La Paracha Béchala'h dresse la liste d’obstacles auxquels sont confrontés les Bnei Israel : l’angoisse de la mort face aux Égyptiens, le désespoir face à la mer, la faim, la soif dans le désert, la guerre avec Amalek.
Pourtant, à travers les difficultés rencontrées par notre peuple, ses réactions et sa Emouna, la Torah nous livre des outils pour vivre une vie plus sereine.
Dans la paracha Ytro, le peuple d’Israel, peuple choisi par D…, recoit la Torah, et notamment les dix commandements. Parmi ceux ci, le commandement de ne pas jalouser.
Ce commandement nous enjoint de prendre conscience de notre talent, afin de nous permettre d’assurer le rôle qu’Hachem a défini pour nous.
Après l’avoir reçue au Mont Sinaï, la Torah nous dresse les Mitsvotes qu’il incombe désormais aux Bnei Israel de respecter. Tout en nous apprenant à réaliser des distinctions (entre les espèces notamment), Hachem nous rappelle, qu’au sein de l’humanité, nous nous devons de respecter les différences de chacun.
La reine Esther, introvertie, et cachée, doit jouer un rôle difficile: arrachée des siens, devant jouer un rôle qu’elle n’a pas choisi, elle nous apprend a avoir confiance- la Emouna. A une époque, où la présence de D… reste difficile à percevoir, apprenons, comme Esther, à faire confiance.
La paracha Vayakel comporte les détails de fabrication du Michkane, et décrit l’entrain dont a fait preuve le peuple et notamment les femmes d’Israël.
A travers la construction du Michkane, la paracha nous enseigne ce que signifie un don plein de sens, permettant de créer du lien entre les membres du peuple.
Loin d’être condamnée par notre passé ou nos expériences décevantes, l’arrivée du mois de Nissan nous invite à aller à la découverte d’un renouveau intérieur. Une réalité matérielle avec le renouveau de la nature et l’arrivée du printemps, révèle une réalité spirituelle: une renaissance intérieure et une découverte de soi.
Depuis plus de 2000 ans d’exil, le peuple juif parvient à conserver son identité, ses lois, ses coutumes et traditions.
A travers le récit de la sortie d’Egypte, la Torah nous enseigne comment conserver notre singularité, et notre authenticité.
Pour profiter pleinement de cette soirée unique, je voudrais en premier lieu passer en revue les étapes du seder. Le Maharal explique dans son livre gvourot H’ que l’évolution spirituelle d’une personne s’établie en 15 étapes.
Le seder s’organise de façon précise autour de ces quinze étapes successives que l’on a l’habitude de mentionner à nouveau dès que l’on passe à l’étape suivante.
Dans l’attente du don de la Torah à Chavouot, nous comptons le Omer dès Pessah.
Période triste du calendrier juif, marquée par la perte des élèves de Rabbi Akiva, la période du Omer représente une période favorable au travail des Midot. En cultivant nos qualités de cœur, en nous sensibilisant à l’autre, nous nous préparons ainsi à recevoir la Torah.
Les parachiotes, Aharé mot et Kédochim, nous livrent le mode d’emploi pour développer des relations saines: loin de prôner l’isolement, D… nous enjoint de cultiver la réciprocité dans nos relations, de tisser un lien les uns avec les autres.
Ces parachiotes font écho aux jours de Yom Hazikaron et Yom Haatsmaout, jours d’unité au sein du peuple d’Israel.
La Torah exclut le déterminisme, et nous offre la possibilité de faire Téchouva.
L’instauration du pessah Chéni est un exemple « d’une session de rattrapage » donnée à des hommes cherchant à se rapprocher de D…
Rabbi Meir Baal Haness, maître incontesté de la Torah orale et dont la hiloula approche, nous enseigne, à travers ses expériences, comment cultiver son optimisme et à donner une seconde chance aux cas les plus désespérés.
A l’approche de Chavouote, nous sommes toujours dans le travail des Midot avec cette semaine, la mida de Hod! Faire de la place à l’autre, tout en restant consistant et en prenant conscience de ses compétences, tel est notre objectif et telles sont leçons que la journée de Lag Baomer vient nous enseigner !
Acceptée initialement sous la contrainte, la Torah nous est à nouveau donnée à Chavouot.
Se distinguant des autres nations par ces nombreux commandements, les enfants d’Israel ont montré leur attachement à ces lois parfois, perçues comme irrationnelles.
Pourtant, doit-on vivre une Torah contrainte? Doit-on subir les commandements imposés ?
La paracha Nasso expose plusieurs thématiques qui sembles n’avoir aucun lien les unes les autres: la femme Sotah, le Nazir, les offrandes des chefs de tribu, la Birkat Cohanim…Pourtant, un point commun les relie: chaque problématique nous enseigne comment trouver notre place dans les différents domaines de nos vies.
La paracha Beaaloteha rapporte une série de plainte formulées par les Bnei Israël dans le désert. Près d’un an après la sortie d’Egypte, Moshé doit faire face à un peuple insatisfait, pourtant bénéficiaire de la protection divine.
Pourtant, la plainte n’est pas forcément négative. Elle peut s’inscrire dans une démarche positive d’évolution.
Dans la paracha Shla'h, Moshé envoie des explorateurs, pour découvrir et préparer l’entrée en terre d’Israël. Loin d’en louer les bienfaits, leurs critiques effraient le peuple d’Israel.
Comme en réponse à ce douloureux événement, la Torah nous offre la merveilleuse mitsva de la Hafhachat Hala - pour nous reconnecter à la Terre, et à notre Emouna.
Voulant effacer toute distinction au sein du peuple, Korah et son assemblée, se révoltent contre Moche. C’est pourtant, par la divergence d’opinion, l’opposition que l’on parvient à se construire, et à évoluer, à l’échelle individuelle et collective.
La paracha de Houkat décrit le processus de la vache rousse, permettant de passer du statut de « Touma » à celui de « Tahara ».
De nos jours, cette mitsva ne pouvant plus être accomplie, la femme juive conserve néanmoins une capacité de « renaissance » grâce à la mitsva du Mikvé.
Ticha beav nous rappelle la destruction du beth Hamikdach et la perte de la présence d’Hakadosh Baroukh Hou au sein du peuple d’Israël.
Le mois de Av nous enseigne pourtant l’importance de l’écoute de l’autre pour s’accepter, pour nous permettre de vivre en harmonie les uns les autres et ce malgré nos différences.
La fête de Roch Hachana annonce le début de l’année juive. Cette fête reste un jour de prière, de lien avec notre Créateur. En sanctifiant ce jour, nous espérons donner une impulsion positive pour le reste de l’année à venir.
A Roch hachana, la principale question que nous devons nous poser est : souhaitons nous être au commandes de notre vie ou laisserons nous les autres la contrôler ?
C’est seul, que chacun passe devant le maître du monde pour être jugé à Rosh Hachana.
Ce jour de jugement et d’introspection, doit également nous apprendre à faire de la place en nous, pour l’autre.
Chères amies,
En cette période de fêtes, permettez-moi au nom de toute l’équipe Essentielle de vous souhaiter une belle et douce année.
Le jour de Kippour, redouté pour beaucoup, est un jour de connexion avec notre Roi des Rois. Pour renforcer ce lien, il est pourtant nécessaire de réparer les relations autre autrui et tisser un lien avec l’autre.
Souccot est la fête de la joie par excellence. Après les jours redoutables de Rosh Hachana et Yom Kippour, la Torah nous enjoint de nous réunir dans la Soucca.
C’est par l’unité du peuple et l’acceptation de l’autre que naîtra notre joie.
Malgré son jeune âge, Israël a vécu de nombreuses guerres et s’est toujours relevée.
Renforçons nous, unissons nous et avançons sereinement vers la Guéoula.
Difficile de trouver les mots quand tout notre peuple vit la tragédie d'un pogrom ...
La téva, l'arche de Noé - qui signifie aussi le MOT- nous permet de survivre au déluge.
Dans ce cours, nous tentons de cicatriser l'indicible blessure en trouvant les mots justes, les mots d'une prière qui transperce l'obscurité et atteint le Ciel.
Avraham - père du peuple juif - défie la raison, et les statistiques pour sauver son neveu Lot pris en otage. Comme Avraham, nous sommes des hébreux: malgré les obstacles, et par l’aide du Maitre du monde, nous avons cette capacité de défier l’impossible. Cette Emouna qu’a eu Avraham, coule dans nos veines et nous permettra d’aboutir à la victoire du peuple juif.
Avraham, alors qu'il vient tout juste de se circoncire, court accueillir des voyageurs.
Pourra t'il étant circoncis, donc différent dans sa chair, continuer à jouer un rôle universel ?
À l'aune d'une guerre qui nous bouleversé, tentons de jouer le rôle du peuple juif !
Inscription au séminaire Bohi Kala 2024 en cliquant sur ce lien.
Le séminaire Bohi Kala "Pour apprendre à aimer" est une formation pour fiancées et nouvelles mariées animé sur 4 dimanches de suite par Mariacha Drai.
La paracha Haya Sarah, nous relate les miracles dont bénéficiait chaque semaine notre mère Sarah.
Sarah, puis Rivka, déjà, pratiquaient 3 Mitsvotes essentielles du foyer juif: Halla, Nida, et l’allumage des bougies du Chabat. Attaqués dans nos maisons, renforçons nous dans ces 3 magnifiques mitsvots - 3 piliers des foyers juifs.
Cours sur le mois de kislev et sur la paracha de cette semaine: Toldot
Mon fils est à gaza depuis 20 jours.
Depuis 20 jours, j'apprends à découvrir mon cœur.
C’est étrange.
Je vis avec lui depuis si longtemps, on se côtoie, on se ressent, on échange et pourtant ... Je le découvre à peine maintenant.
31 octobre 2023.
J'ai le teint blafard et les traits tirés ce matin là en me rendant à l'adresse indiquée pour le tournage. Cela fait des jours que je ne dors plus .
Mes pas sont lourds, j'ai le sentiment de devoir me porter.
3 semaines .
Déjà 3 semaines que les images tournent en boucle . Les images d'un pogrom que l'on croyait appartenir au passé.
Mes chères amies ,
Notre fils Nethanel Yehouda est de nouveau à Gaza.
Nous espérons de tout coeur que cette mission leur sera moins pénible.
Le peuple juif est le peuple du paradoxe: lorsqu’il est asservi, il se multiplie. Le Livre de Chemot, par l’exemple des épreuves vécues en Égypte, nous montre le chemin pour affronter les souffrances dans l’exile dans lequel nous nous trouvons.
En cette période de guerre longue et douloureuse , plus que jamais nous avons besoin d’explorer la Simha - la joie et de l’intégrer dans nos vies .
Découvrons le lien entre la joie et l’union et pourquoi le tabernacle inclue ces deux notions
Cours sur parachat Tétsavé
Cours sur la paracha de Ki Tissa
Le jour de Lag Baomer - Jour du dévoilement des secrets de la Torah par Rabbi Chimon Bar Yohaï - allons à la découverte de ce qui est caché, à la découverte de l’intériorité en chaque personne.
Ce 3 tamouz marque le 30 ième anniversaire de la disparition du Rabbi. Il a été le Rabbi de la renaissance d'Israel. A travers une étude sur Parashat Korah, découvrons la force d'un manhig qui inlassablement continue à travers ses nombreux shlihim à faire fleurir les déserts...
Le 17 tamouz, la muraille de Jérusalem tombe. Que représente la muraille autour de Jérusalem et qu'a t on réellement perdu quand elle est tombée ? D'une part, la muraille protège mais d'autre part elle semble aussi exclure. Le peuple juif doit il toujours rester en marge de l'humanité ?
Ticha Béav 2024 est bien différent. nous sommes les tristes témoins de ce à quoi peut ressembler une destruction totale de villes juives, de foyers, de familles …. איכה ?? Comment est ce possible que nous vivions de telles souffrances ?
La génération actuelle ne veut plus d'une Torah enseignée de façon coercitive et culpabilisatrice. Voyons comment notre Parasha nous invite à rentrer dans eloul avec un accès à notre propre désir de spiritualité !
Un an après ce jour marquant du 7 octobre, nous sommes plongés dans une guerre qui dépasse le simple affrontement des armes. C'est une lutte spirituelle, un combat contre nos propres faiblesses. La terre d'Israël, ce don sacré d'Hachem, se mérite à chaque instant. En ce mois d'Eloul, alors que Roch Hachana approche, nous sommes appelés à l'introspection, à la Teshouva, la Tefila et la Tsedaka – nos armes les plus puissantes pour mériter la paix et la bénédiction divine.