Retrouvez les cours de la Paracha de l'année 2021/2022
A Simhat Torah, nous avons achevé la lecture de la Torah que nous reprenons désormais. Nous voilà donc remplis de projets pour l’année à venir.
Rentrée des classes, rentrée spirituelle également. Nous allons entreprendre d’y trouver des outils afin de mettre en place tous les projets qui ont été les nôtres au moment de Tichri. Il s’agit de faire en sorte que nos bonnes résolutions s’inscrivent dans la réalité.
Notre parasha est celle de l’émergence d’Avraham avinou, le premier agitateur de l’humanité. A notre tour de nager à contre-courant à travers la lecture de cette parasha. Une forme aboutie de société émerge enfin cette semaine, grâce à Avraham et Sarah. L’humanité est alors conduite vers une transformation, vers un embellissement. Avant que n’intervienne le Lekh lekha de cette semaine, nous avions assisté à des phénomènes attristants et proches de la décadence de notre époque.
La Torah nous invite à découvrir 2 postures différentes en miroir : celle de Sarah face à l'épreuve et dans son lien à Itshak et celle de Agar qui refuse son sort et qui sombre dans l'auto destruction . Explorons à travers ces 2 postures notre rapport à l'épreuve.
Notre parasha s'ouvre avec une négociation - lors de l'achat d'un champ - qui semble anodine.
En réalité se cache dans ce passage tout ce qui sous-tend l'engagement d'un homme dans son mariage.
Découvrons cet engagement ainsi que le principe de complémentarité nécessaires à l'émergence d'un couple.
Que produit on sur cette terre ?
Nos 'Toldot' sont les produits de notre vie : nos enfants mais aussi les mots que nous exprimons .
A travers le silence et les mots des personnages de la parasha, découvrons comment produire une parole fertile. ainsi, les mots ne créeront pas de maux ....
La paracha s'ouvre avec les larmes de Jacob à la vue de Rachel. Et ainsi, nous continuons de découvrir la richesse et la diversité des émotions présentes dans ce texte. Ce sont toutes les souffrances du féminin qui se déclinent dans cette parasha et qu'on ne cesse de lire et relire avec émotion !
Cette parasha , à travers la rencontre entre Yaacov et son frère, préfigure le lien entre Israël et les nations lors de l'exil.
C'est aussi ce lien que nous explorons lors de l'épisode douloureux du viol de Dina.
Quel est notre rapport au monde et au visible ?
L'enjeu de cette parasha est de réussir à traverser la matière sans se laisser aspirer par elle.
La particularité de Yossef , qui se situe au cœur de cette parasha, est de savoir préserver et même développer sa singularité . On pourrait dire de lui qu’il est la force de la résistance.
Il est le véritable auteur de la chanson « Résiste, prouve que tu existes » !
Découvrons, grace à l'histoire de Yossef et ses frères comment donner à chacun de nos enfants un sentiment d'unicité et d'importance et valorisons la singularité de ceux qui nous entourent.
Yossef vit la pire situation qu'il puisse être donné de vivre : vendu pas ses frères, esclave en Égypte, accusé d'un crime qu'il n'a jamais commis , il est OUBLIÉ dans un cachot .....
La où il semble ne plus y avoir aucun espoir, sa situation va se transformer du tout au tout. Notre plus grande inquiétude dans la vie est d'être un " OUBLIÉ" de la vie.
A travers l'histoire de Yossef et celle de Hanoukka, nous découvrons nos ressources et notre mémoire !
Yossef, est le personnage biblique qui incarne la paix.
Nous explorons dans ce cours sa capacité à s 'extraire de la tendance naturelle qui consiste à chercher les responsables de nos malheurs.
Nous découvrons également l'intelligence supérieure de Sérah bat Asher qui permet de créer une unité dans un contexte chaotique.
Nous terminons le livre de berechit avec la Vie ( vayéhi ) qui se réalise à travers la transmission et la continuité.
La vie qui est élargissement et amplitude est entravée par le jeune du 10 Tevet qui renvoie à la limitation et à la tentative de rendre fini ce qui relève de l'infini.
La Paracha de Chemot est une paracha où se côtoient la vie et la mort l'esclavage et la liberté, c 'est la paracha de tous les paradoxes.
Moche y tente de se faire l' écho de la question la plus énigmatique : quel est le nom de Hachem ?
L'exil Egyptien préfigure tous les exils suivants. L' exil n'est rien d'autre que l' effet d'une sexualité dévoyée qui extraie de l'histoire des Avot. La gueoula ne pourra venir que quand Israël aura compris qu'il est dépositaire de la confiance donnée par tous ceux qui l'ont précedé. Ce cours a été donné suite au scandale concernant le prédateur sexuel (affaire walder)
Nous pensions être enfin sortis d'affaire lors de la sortie d'Égypte mais nous voici à nouveau confrontés au pire devant la mer des joncs, l'armée aux trousses !
Comment sortir d'une voie sans issue ? Où trouver l'énergie nécessaire pour refaire surface quand on se sent perdu .
Où se trouve le GPS de la vie ?
Dois je m'acharner quand une situation me résiste?
Autant de sujets passionnants abordés dans cette nouvelle étude ;-)
La révélation sinaique a eu lieu il y a 3500 ans mais cette voix venant du Ciel est une voix qui n'a jamais cessé de parler .
C'est une révélation qui se produit en continu et qui permet au peuple " élu" de pouvoir être à chaque instant "ré-ELU "
Sommes nous à la hauteur de cette élection ?
Dans ce cours, nous avons réduit les 10 commandements en 5 phrases qui doivent nous accompagner en toutes circonstances .
La Torah nous a été donnée afin de rédimer le monde. Cette semaine nous découvrons des lois sociales présentées telles une table dressée .
Découvrons le goût qui émane de cette table: le goût de soi et le goût des autres.
Après l’émotion du Sinaï , saurons nous rester connectés au Ciel ?
Allons nous vivre une torah en mode pilotage automatique ou saurons nous garder l’intensité du Sinaï ?
Le Michkan trait d’union entre le ciel et la terre nécessite des actions impulsées par des intentions . Nous allons découvrir à travers ce lien le secret de la Simha (joie)
Cette paracha s'ouvre avec l'ordre d'allumer le candélabre avec de l'huile d'olive . Le midrash compare cela à la colombe qui porte un rameau d'olivier pour signifier la fin du déluge . Ce monde a besoin de lumière et Moshé, à travers son apparente absence de cette paracha, va révéler la plus grande des présences . Inspirons nous de cette paracha pour remplir nos maisons de lumière !
Ki tissa est une paracha qui nous invite à grandir comme l’indique son titre.
Pourtant ce désir de hauteur, quand il est mal orienté peut générer des erreurs colossales.
En quoi consistait vraiment la faute du veau d’or ? Quelle a été son utilité ?
La paracha de Pékoudé conclut le livre de Chemot - de la Gueoula- par les félicitations de Moshé pour la parfaite fabrication du mishkan .
A l'entrée du Mishkan, la cuve en cuivre est composée de miroirs dont la fonction est de transformer un regard tourné vers soi en regard qui inclut l'autre .
Cette capacité proprement féminine bouleverse le rapport au manque en initiant de la créativité et un lien altruiste .
Ainsi, Esther va délivrer Israël du décret de mort en recréant l'unité d'Israel .!
Alors qu'Hamman a décidé de son plan génocidaire, la reine Esther ne souhaite pas se rendre chez le roi argumentant qu'elle n'a pas été appelée depuis trente jours ...
En écho, à cette crainte d'Esther, nos propres peurs se dévoilent : le Roi veut Il de moi ?
Amalek est celui qui, de tous temps, tente de nous convaincre que tout est le fruit du hasard. Ce shabat zakhor, nous effacerons le souvenir d'amalek et entendrons également l'appel personnel d'H' à travers le mot VAYKRA qui ouvre le livre de la proximité.
La fin de Pourim est, bien souvent associée à la crainte du ménage de Pessah.
On s’active pour faire disparaitre le Hametz, pour se préparer à célébrer « la fête de notre liberté ».
Mais est-ce l’état d’esprit dans lequel nous devons entrer dans le mois de Nissan et la fête de Pessah ?
Comment réussir cette transition entre Pourim et la joie qui l’accompagne, et Pessah ?
Essayons de comprendre la puissance du mois de Nissan, pour faire fleurir des forces nouvelles… !
Ce Chabat, Chabat Tazria correspond également à Chabat Ha’hodesh, Chabat qui annonce Rosh Hodesh Nissan, l’arrivée du printemps et le renouveau de la nature.
La première Mitsva de la Torah est ordonnée, Mitsva qui nous demande de sanctifier le nouveau mois.
« Et il sera pour vous le premier des mois de l’année ». Nissan, premier mois de l’année ? Qu’en est-il de Tichri, et Rosh Hachana ?
Accompagnées de Rabbi Eliezer, Rabbi Yehouchoua, et le Rabbi de Loubavitch, découvrons comment apprendre à redynamiser notre Emouna, à réveiller notre intériorité, pour déclencher un mouvement d’En haut, et voir nos miracles se réaliser !
L’heure du ménage a sonné!! Nous nettoyons chaque recoin de Hametz, préparons notre maison à accueillir Pessah.
Seulement, cette préparation matérielle de la fête, sous tend une préparation spirituelle : en chassant le hametz de notre maison, nous chassons l’orgueil dans notre cœur.
Ce chabat, à travers la paracha Metsora et le thème du Lachon Hara, explorons comment réussir à se préparer à la fête de Pessah !
Pessah est terminé, et laisse place au compte du Omer qui nous rapproche et nous prépare à Chavouot et au don de la Torah.
Quarante-neuf jours, soit 7 semaines, qui chacune représente une middah que nous pouvons travailler.
Cette semaine, explorons celle de Guevoura, la rigueur, la discipline héritée de Itshak.
Découvrons comment acquérir des clés pour apprendre à gérer au mieux nos relations!
La paracha Kédochim présente la notion de Kédoucha - notion très abstraite et essentiellement réservée à D… - qui pourrait pourtant s’appliquer pour l’homme.
Qu’est ce que cela signifie « être Kadoch »? Comment y parvenir ?
Rabbi Akiva, grand maître de la Torah, nous enseigne comment accéder à cette kedoucha, à une unité du peuple juif malgré les différences de chacun, par le Kavod et le respect d’autrui.
La paracha Béhoukoutaï, lue avant Chavouot, nous enseigne l’importance de l’investissement dans l’étude de la Torah. Donnée en héritage, la Torah doit pourtant s’acquérir par l’étude, par l’effort.
Comment expliquer ce paradoxe: la Torah est-elle héritée ou méritée ?
Il y a quelques jours, nous recevions la Torah au mont Sinaï !
À nous d'accomplir au mieux la Torah et la mission qui nous est donnée !!
Pour cela, tirons des forces à travers la Paracha de cette semaine avec la bénédiction des cohanims, l'histoire du Nazir et de la femme Sotah.
Le livre de Bamidbar relate les difficultés du peuple dans le désert, leurs réclamations et plaintes. Quels sont les mécanismes de la plainte et de l'insatisfaction ? La plainte pourrait-elle être un Moteur pour faire jaillir de nouvelles ressources ?
Pour y répondre, retournons à l'origine de la création du monde.
La parole renferme une puissance dont l’impact est souvent sous-estimé.
A travers le périple des explorateurs, la Paracha de cette semaine nous invite à en prendre conscience, pour apprendre à manier cet outil que peut être la parole.
La paracha de Korah illustre une douloureuse dispute, source de division au sein du peuple d’Israel.
A partir de cet exemple caricatural de dispute, découvrons les enseignements à en tirer, afin d’apprendre à construire le Shalom, la paix.
A travers Bilam et sa tentative de malédiction sur le peuple juif, la Torah développe la notion du mauvais œil.
Par cet exemple, elle nous incite à développer notre Ayn Tova, un bon œil, pour apprendre à voir au delà des apparences.
La paracha Pinhas nous présente plusieurs personnages qui ont fait preuve de zèle pour Hachem: Pinhas, et les filles de Tselophad.
Lue à une période sombre du peuple juif, cette paracha nous donne des clés pour affronter ces vingt-et-un jours de tristesse qui séparent le jeûne du 17 Tamouz et le 9 Av.
Le mois d'Eloul nous donne l'opportunité de répondre à une question essentielle : suis je en phase avec moi même ?
La violence inhérente au monde a t elle induit chez moi une banalisation du mal ?
Suis je capable de retrouver ma beauté intérieure et d'aider ceux qui m'entourent à faire de même ?
Autant de questions passionnantes que nous explorons cette semaine à la mémoire de notre cher soldat Natan Avraham.
Amener les prémices de ses fruits au temple , c’est faire preuve de reconnaissance envers le Créateur du monde pour tous les bienfaits qu’il nous prodigue.
Remplis par sa bénédiction, nous pouvons alors donner notre maaser c’est à dire se réjouir et réjouir d’autres.
A l’approche de Roch Hachana, découvrons comment le son du shofar nous rend libre et nous permet de créer un lien différent avec Hachem et avec ceux qui nous entourent!
La tefila de Rosh hachana donne en exemple des femmes qui ont su prier et exprimer leur voix - leur Kol - vers Hachem.
Éprouvées, Sarah, Hanna, Rahel, ont épanché leur cœur vers le Maître du Monde, nous montrant ainsi la puissance de cet outil.
A l’approche de Rosh Hachana, découvrons les voies de la Téchouva à privilégier pour une connexion durable avec le maître du monde, notamment grâce aux enseignements du Baal Hatanya.