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Pourquoi le peuple le plus entouré de miracles est-il aussi celui qui se plaint le plus ? Ce cours explore en profondeur la plainte comme révélateur d’un vide intérieur, non pas pour la condamner, mais pour en dévoiler la racine : un immense potentiel en quête de réalisation. À travers la Paracha Behaalotkha, c’est toute une posture qui est interrogée : celle de la frustration, de l’exigence, mais aussi de la grandeur.
Un appel à voir autrement, à transformer la plainte en gratitude, et à libérer l’arbre intérieur qui veut pousser.
Ce cours explore la paracha Béaalote’ha sous l’angle du désir et de la volonté profonde.
À travers les plaintes des Bné Israël dans le désert, on réfléchit à la différence entre le désir immédiat, insatiable et extérieur, et la volonté authentique, enracinée dans l’âme (la Neshama). Le cours propose une lecture psychologique et spirituelle puissante : il ne suffit pas de satisfaire les envies, il faut apprendre à écouter le vide intérieur, à faire monter notre propre flamme, et à accéder à une volonté alignée avec notre essence et avec la Torah. Un enseignement lumineux et bouleversant sur l’éducation, la maturité et la quête de sens.
La paracha Beaaloteha rapporte une série de plainte formulées par les Bnei Israël dans le désert. Près d’un an après la sortie d’Egypte, Moshé doit faire face à un peuple insatisfait, pourtant bénéficiaire de la protection divine.
Pourtant, la plainte n’est pas forcément négative. Elle peut s’inscrire dans une démarche positive d’évolution.
Le livre de Bamidbar relate les difficultés du peuple dans le désert, leurs réclamations et plaintes. Quels sont les mécanismes de la plainte et de l'insatisfaction ? La plainte pourrait-elle être un Moteur pour faire jaillir de nouvelles ressources ?
Pour y répondre, retournons à l'origine de la création du monde.
H' nous a donné un outil créateur exceptionnel : la parole. Toutefois, si cet outil est mal utilisé, il peut générer les plus grandes destructions de notre existence.
Ilana Ouaknine se propose d'illustrer la Paracha de la semaine en Halla.
Hafrachat halla pour la refoua chelema de Ouri ben Tsipora
À Chavouot, on ne fait pas que revivre le don de la Torah — on redécouvre sa propre part en elle. Comme les anges porteurs de drapeaux au Sinaï, chaque âme a un drapeau, une mission unique.
Quand un sujet de Torah te bouleverse, quand ton cœur s’emballe, c’est souvent le signe: c’est ta place. La Torah que tu cherches te cherche aussi.
Élève ton drapeau. Partage ce qui t’allume. C’est ta part dans la lumière du Sinaï.
Ce cours explore la mida de HOD, au cœur de la semaine de Rabbi Shimon Bar Yohaï. Entre humilité et force intérieure, il interroge notre capacité à recevoir, à nous parfaire sans nous effacer.
En lien avec la paracha Emor et la Hiloula de Rabbi Shimon, il met en lumière la fragilité et la puissance de cette mida : être réceptif sans être influençable, stable sans être rigide.
À travers les notions de Lev Tov, de complémentarité, de feu et de manne céleste, ce cours invite à accueillir la lumière de l’autre, la profondeur de la Torah et la joie retrouvée a Lag Bomer.
Le Talmud précise que D.ieu garde précisément 3 clés et ne les confie pas à des messagers.
L’une d’elle est symbolisée par une Halla en forme de clé que nous pétrissons après Pessah.
Quel est le sens de cette clé ?
Comment pouvons nous avoir accès à ces portes mystérieuses ?
Le jour de l’inauguration du tabernacle, une tragédie survient . Les deux fils de Aaron pénètrent le lieu Saint et trouvent la mort .
Cet épisode invite à réfléchir sur les règles qui encadrent toute exaltation religieuse.
Nous explorerons dans ce cours la sephira de ´guevoura ´qui permet la retenue et la rigueur .
Lors de la fête de Pessa’h, nous sommes invités à trouver notre place , tant individuellement que collectivement.
Le Séder représente ainsi cette table où chacun doit retrouver sa place.
Les quatre coupes de vin représentent les étapes de la libération, mais la cinquième – l’arrivée en Eretz Israël – reste entre nos mains, notre travail.
On sort d’Égypte pas seulement avec nos pieds, mais avec notre cœur.
Et la liberté véritable ?
Elle se vit là où l’âme respire le mieux : en Eretz Israël.
Ce cours, donné à l’occasion de Rosh Hodesh Nissan et de la fin du livre de Shemot, souligne un moment-clé : Celui où D’ nous donne le pouvoir d’agir .
Après avoir assisté à ce que Dieu fait pour nous (sortie d’Égypte, don de la Torah) , nous découvrons ce que nous sommes capables de faire pour Lui – construire un monde où réside Sa présence.
Rosh Hodesh Nissan, première mitzvah donnée au peuple juif, symbolise la maîtrise du temps, la responsabilité et le pouvoir d’agir. Le message est central : « la force est en nous », individuellement et collectivement.
Ce cours insiste sur l’importance d’agir, de remplir son temps avec sens, de construire un foyer pour la Shekhina, et de se sentir responsable du destin collectif d’Israël.
Pourim est la fête de l’union de nous tous. Le secret de l’éternité d’Israël réside dans une force que nous avons : celle qui consiste à créer de l’unité.
À travers les mitzvot de cette journée – écouter la Meguila, donner aux nécessiteux, envoyer des michloah manot et organiser un festin – nous réapprenons à tisser des liens et à nous voir comme une seule entité. Ce n’est que dans l’unité que nous trouvons notre force et notre éternité en tant que peuple.
Comment continuer à avancer quand la souffrance nous envahie tant ? Comment se renforcer malgrè la douleur ?
Nous tentons un début de reflexion dans le brouillard ambiant...
Les fêtes juives sont toutes en rapport avec la saison agricole durant laquelle elles arrivent . L’évolution dans la nature est un reflet d’une évolution spirituelle qui s’opère en nous .
Quel est le nouveau début qui s’invite dans nos vies quand arrive le nouvel an des arbres ?
Quelles sont les particularités de l’arbre qui doivent nous inspirer dans notre propre transformation ?
Le peuple d'Israel se trouve coincé entre les Egyptiens à leur poursuite et la mer des joncs. Contre toute attente, Dieu leur demande d'avancer tout simplement. Ce mouvement en avant, pourtant voué à l'échec, va représenter l'attitude clé d'un peuple qui devra beaucoup oser pour survivre dans son histoire tumultueuse. Le peuple sorti d'Egypte est aussi un peuple qui sait traverser la mer et apprend à faire confiance à Dieu ... comme un poisson dans l'eau !
Nos émotions ambivalentes autour de l’accord pour nos otages fait écho à l’ambivalence présente dès le premier verset de vaera.
Doit on agir de façon cérébrale ou doit on laisser parler notre cœur ?
Et que se passe t’il quand le cœur devient tout à fait soumis aux pulsions les plus basses comme c est le cas pour Pharaon ? À nous de réussir à fonctionner avec notre rationalité et notre cœur en gardant toujours notre liberté !
Quelle est l’identité du libérateur d’Israel ? Pourquoi Dieu s’adresse t il à Moise en particulier ?
La parasha de Chemot nous invite à réfléchir à ce qui permet de véritablement rencontrer l’autre afin de faire peuple.
Nous allons explorer les éléments qui favorisent une véritable rencontre entre deux personnes.
Jacob tient à bénir ses petits fils en plaçant le second avant le premier et précise que c'est par cette bénédiction que nous devons bénir nos enfants.
Nous allons tenter de comprendre ce qui se joue dans ce moment si fort de la fin du livre de la Genèse.
Quel est l'ultime message transmis par Jacob et quelles ont été les stratégies de survie de Yossef après avoir vécu la vente comme esclave et la prison?
Nous comprendrons aussi alors pourquoi il est important de jeuner le 10 tevet.