Ne manquez pas le cours sur la Paracha de la semaine !
La paracha Vayakel comporte les détails de fabrication du Michkane, et décrit l’entrain dont a fait preuve le peuple et notamment les femmes d’Israël.
A travers la construction du Michkane, la paracha nous enseigne ce que signifie un don plein de sens, permettant de créer du lien entre les membres du peuple.
Après l’avoir reçue au Mont Sinaï, la Torah nous dresse les Mitsvotes qu’il incombe désormais aux Bnei Israel de respecter. Tout en nous apprenant à réaliser des distinctions (entre les espèces notamment), Hachem nous rappelle, qu’au sein de l’humanité, nous nous devons de respecter les différences de chacun.
Dans la paracha Ytro, le peuple d’Israel, peuple choisi par D…, recoit la Torah, et notamment les dix commandements. Parmi ceux ci, le commandement de ne pas jalouser.
Ce commandement nous enjoint de prendre conscience de notre talent, afin de nous permettre d’assurer le rôle qu’Hachem a défini pour nous.
La Paracha Béchala'h dresse la liste d’obstacles auxquels sont confrontés les Bnei Israel : l’angoisse de la mort face aux Égyptiens, le désespoir face à la mer, la faim, la soif dans le désert, la guerre avec Amalek.
Pourtant, à travers les difficultés rencontrées par notre peuple, ses réactions et sa Emouna, la Torah nous livre des outils pour vivre une vie plus sereine.
Dans notre Paracha, se trouve la première Mitsva donnée au peuple d’Israel: celle de sanctifier le nouveau mois, Rosh Hodesh.
Dans l’obscurité de l’épreuve, dans les difficultés de la vie, la mitsva de Rosh Hodesh nous enseigne comment atteindre des capacités de renouvellement, de fertilité et accéder à une estime de soi.
Dans la paracha de cette semaine, sept plaies s’abattent sur l’Égypte et malgré tout, Pharaon s’entête et refuse de faire sortir le peuple d’Israel.
De son comportement, nous pouvons découvrir les outils pour faire taire le Pharaon qui sommeille en nous, et ainsi faire émerger une nouvelle forme de sagesse : le Dahat.
Cette semaine, débute la terrible épreuve à l’échelle collective pour les enfants d’Israël, avec l’esclavage en Égypte.
Asservis, opprimés, les Bnei Israël font preuve de résilience et courage. A travers leur exemple, les femmes juives, et sages femmes en Égypte, sèment cette notion fondamentale de « choisir la vie », commandement qui suivra le peuple juif tout au long de son histoire.
La paracha Vayé’hi est celle du lien intergénérationnel et de la transmission : Yaakov bénit ses enfants et petits-enfants, en mettant en valeur les qualités uniques de chacun.
A travers les bénédictions de Yaakov à ses enfants, et en rapport avec le jeûne du 10 tevet, qui marque la perte du lien avec notre Créateur, notre paracha nous enseigne comment rester connecter avec la Torah et notre héritage.
La paracha Vayechev est la paracha de la division, de la souffrance: une famille est divisée par la vente d’un frère - Yossef, Yaakov reste inconsolable de la perte de son fils, et Tamar souffre dans l’attente d’une construction qui ne vient pas.
Pourtant, la Hassidoute nous offre une belle lecture de la paracha, une lecture pleine d’espoir et de lumière. A l’approche de Hanouka, apprenons à faire jaillir plus de lumière dans ce monde !
La paracha Vayichlah met en évidence la notion de solitude: Yaakov est décrit comme étant « seul - Levado » dans la fameuse lutte contre un homme. Tentons de comprendre ce qu’il signifie afin de pouvoir, nous aussi, apprendre à sortir de notre solitude et à enrichir nos relations.
Dans la paracha Vayetse, Yaakov fait la rencontre de Rahel. Trompé, il épousera d’abord Lea, soeur de Rahel.
A travers les personnalités de Rahel et Léa et les relations de couple de nos patriarches, la Torah nous enseigne les clés pour fonder une relation de couple durable.
Dans la paracha Toldot, Yaacov et Éssav rivalisent pour obtenir la bénédiction de leur père Itshak. Étonnement, la Torah mentionne les liens affectifs privilégiés entre Rivka et Yaakov, et entre Itshak et Éssav.
Par l’histoire, le comportement et les réactions de nos ancêtres, la Torah explore la complexité des relations parents-enfants, et nous enseigne le rôle que doit jouer un père, une mère et un fils.
Dans la paracha Vaera, Avraham est confronté à de difficiles épreuves : la destruction de Sodom, le renvoi de son fils Ichmael. Incarnant la midda du Hessed - du don - Avraham doit faire face à la rigueur.
Des questions émergent alors: Le Hessed a t- il des limites ? Peut-on n’être que dans le don? La rencontre entre le Hessed entier d’Avraham et la rigueur qu’il a dû développer pour faire faire face à ces épreuves, nous montre la nécessité d’un équilibre dans nos traits de caractère.
Dans la paracha Le'h-Le'ha, Avraham, père fondateur du monothéisme, reçoit l’ordre de quitter son pays natal. Guidé par sa Emouna, il se dirige vers l’inconnu. Par cette image du mouvement et du déracinement, Avraham nous enseigne comment se connecter à son moi profond. Pour cela, une condition: s’extraire de nos croyances limitantes.
A travers le récit de la création du monde, de l’homme et de la femme, la Paracha Berechit nous expose deux forces selon lesquelles le monde fonctionne: une force masculine et une force féminine.
Ces mêmes forces ont dirigé les actions de Noah, le personnage principal de notre paracha. Tentons de comprendre, comment fonctionnent ces deux forces, pour nous permettre de construire un monde meilleur.