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La paracha Vayakel comporte les détails de fabrication du Michkane, et décrit l’entrain dont a fait preuve le peuple et notamment les femmes d’Israël.
A travers la construction du Michkane, la paracha nous enseigne ce que signifie un don plein de sens, permettant de créer du lien entre les membres du peuple.
À toi, ma chère kala ! Toi, kala de l'été 2020, kala alors que sévit le corona. C'est pour toi que je voudrais écrire ces quelques lignes. Toi qui as rêvé depuis toute petite à ce jour où tu seras la princesse. Toi qui voulais te marier en Israel, dans un lieu exceptionnel où...
La Paracha Béchala'h dresse la liste d’obstacles auxquels sont confrontés les Bnei Israel : l’angoisse de la mort face aux Égyptiens, le désespoir face à la mer, la faim, la soif dans le désert, la guerre avec Amalek.
Pourtant, à travers les difficultés rencontrées par notre peuple, ses réactions et sa Emouna, la Torah nous livre des outils pour vivre une vie plus sereine.
Ce cours décrit le processus de reconnaissance de l’autre que soi à travers le don. Le geste du don est clé dans le rapport à l'autre. (1/2)
Bonjour à toutes,
A l'initiative de Mariacha Drai, je vais traiter d'un sujet que je connais particulièrement bien, celui de l'infertilité dans le couple. La difficulté d'avoir des enfants à notre époque est de plus en plus fréquente malgré les énormes progrès de la médecine dans ce domaine.
Que ce soit au sein de la fratrie ou dans le couple, le foyer est bien souvent le lieu de trop de tensions. Découvrons quelques outils qui vont nous permettre d’envisager des relations apaisées.
Pourquoi devons-nous compter les jours du Omer avant d’obtenir ce merveilleux cadeau qu’est la Torah. Quel est la signification de cette attente ? En une minute chrono, partageons une idée essentielle.
Ce cours décrit le processus de reconnaissance de l’autre que soi à travers le don. Le geste du don est clé dans le rapport à l'autre. (2/2)
Chers amis,
Je vous recommande tout particulièrement de vous procurer ce magnifique livre qui est une magnifique leçon d'Emouna et un cantique de la vie...
Écrit par Jessica Philippe.
La Hafhchat Hala est une des trois Mitsvotes phares de la femme juive.
Les mains à la pâte, à la matérialité, la femme juive a cette capacité de connecter le matériel au spirituel, et de construire un pont entre le Ciel et la terre.
Nous sommes à la veille du septième jour de pessah, septième jour donc après la nuit de notre libération. C’est précisément le moment où historiquement le peuple hébreu se trouve pris en tenaille entre la mer rouge et les égyptiens qui les poursuivent. Cette nuit là, la mer s’ouvre et nous vivons la plus incroyable expérience collective de tous les temps. C’est une étape clé dans l’apprentissage de la Emouna.
Nous avons tous tendance à vouloir garder le contrôle sur notre vie pour nous sentir en sécurité. Toute fois, on ne peut avancer sereinement dans notre vie sans lâcher prise. C’est le Bitahon (confiance en Dieu ) qui est aux commandes du lâcher prise .
L'exil Egyptien préfigure tous les exils suivants. L' exil n'est rien d'autre que l' effet d'une sexualité dévoyée qui extraie de l'histoire des Avot. La gueoula ne pourra venir que quand Israël aura compris qu'il est dépositaire de la confiance donnée par tous ceux qui l'ont précedé. Ce cours a été donné suite au scandale concernant le prédateur sexuel (affaire walder)
Dans la paracha Le'h-Le'ha, Avraham, père fondateur du monothéisme, reçoit l’ordre de quitter son pays natal. Guidé par sa Emouna, il se dirige vers l’inconnu. Par cette image du mouvement et du déracinement, Avraham nous enseigne comment se connecter à son moi profond. Pour cela, une condition: s’extraire de nos croyances limitantes.
Nous revivons chaque année le processus de sortie d'Egypte dans la paracha et à la table du seder de Pessah. Nous nous libérons de toutes nos entraves et sortons de la galouth (l'exil).
Le détour que Moché emprunte pour mener les hébreux vers Israël nous apprend que les détours que nous faisons sans cesse dans nos vies doivent renforcer notre emouna (foi).
La 1ère tragédie de notre peuple est décrite dans cette paracha. Puisons de la force dans ce qui semble être nos faiblesses et renforçons ainsi notre émouna (foi).
La tefila de Rosh hachana donne en exemple des femmes qui ont su prier et exprimer leur voix - leur Kol - vers Hachem.
Éprouvées, Sarah, Hanna, Rahel, ont épanché leur cœur vers le Maître du Monde, nous montrant ainsi la puissance de cet outil.
A l’approche de Rosh Hachana, découvrons les voies de la Téchouva à privilégier pour une connexion durable avec le maître du monde, notamment grâce aux enseignements du Baal Hatanya.