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La Torah commence par la lettre Bet (2) et non Alef (1). Le commencement s'annonce donc dans la dualité, le ciel/la terre, la lumière/l'ombre, l'existant/le manquant...
La génération du déluge est dépravée et ne connait aucune limite. Comprenons pourquoi il est si important de définir un cadre, des frontières.
ce cours peut également vous intéresser Béréchit et D. créa le manque
A Simhat Torah, nous avons achevé la lecture de la Torah que nous reprenons désormais. Après Rosh Hashana, après Kippour également, nous sommes passés par des moments introspectifs. Nous voilà donc remplis de projets pour l’année à venir. Rentrée des classes, rentrée spirituelle également. La parasha de cette semaine est la parasha de Noah. Elle est très liée à Béréshit que nous avons lu la semaine dernière. Nous allons entreprendre d’y trouver des outils afin de mettre en place tous les projets qui ont été les nôtres au moment de Tichri. Il s’agit de faire en sorte que nos bonnes résolutions s’inscrivent dans la réalité.
Notre 1er patriarche apparait dans cette paracha, Avraham Avinou, qui entend l'injonction de D' l'exhortant à aller à la découverte de son pays, mais aussi de lui même.
Notre parasha est celle de l’émergence d’Avraham avinou, le premier agitateur de l’humanité.
A notre tour de nager à contre-courant à travers la lecture de cette parasha.
Une forme aboutie de société émerge enfin cette semaine, grâce à Avraham et Sarah.
L’humanité est alors conduite vers une transformation, vers un embellissement.
Avant que n’intervienne le Lekh lekha de cette semaine, nous avions assisté à des phénomènes attristants et proches de la décadence de notre époque.
Ce cours décrit le processus de reconnaissance de l’autre que soi à travers le don. Le geste du don est clé dans le rapport à l'autre. (1/2)
La Torah nous invite à découvrir 2 postures différentes en miroir : celle de Sarah face à l'épreuve et dans son lien à Itshak et
celle de Agar qui refuse son sort et qui sombre dans l'auto destruction .
Explorons à travers ces 2 postures notre rapport à l'épreuve.
Ce cours décrit le processus de reconnaissance de l’autre que soi à travers le don. Le geste du don est clé dans le rapport à l'autre. (2/2)
Notre parasha s'ouvre avec une négociation - lors de l'achat d'un champ - qui semble anodine.
En réalité se cache dans ce passage tout ce qui sous-tend l'engagement d'un homme dans son mariage.
Découvrons cet engagement ainsi que le principe de complémentarité nécessaires à l'émergence d'un couple.
La Torah donne une place spécifique à la femme, découvrez ses 3 mitsvot et leurs significations afin de mieux comprendre le rôle de chacun et la complementarité dans le couple.
Que produit on sur cette terre ?
Nos 'Toldot' sont les produits de notre vie : nos enfants mais aussi les mots que nous exprimons .
A travers le silence et les mots des personnages de la parasha, découvrons comment produire une parole fertile.
ainsi, les mots ne créeront pas de maux ....
Toldot renvoie à la trace qu'on laisse de soi dans ce monde, ce que l'on transmet à nos enfants: valeurs, convictions, ce qui donne du sens à notre existence.
La paracha s'ouvre avec les larmes de Jacob à la vue de Rachel. Et ainsi, nous continuons de découvrir la richesse et la diversité des émotions présentes dans ce texte.
Ce sont toutes les souffrances du féminin qui se déclinent dans cette parasha et qu'on ne cesse de lire et relire avec émotion !
Cette paracha est riche en mariages, naissances, vie de famille... ces mouvements poussent les protagonistes à changer de vie et sortir de leurs zones de confort. C'est ainsi que l'on grandit et développe son potentiel.
A travers les moments sombres décrits dans cette paracha, on comprend qu'il ne faut jamais baisser les bras. Se relever, lutter, avancer en est l'enseignement.
La particularité de Yossef , qui se situe au cœur de cette parasha, est de savoir préserver et même développer sa singularité . On pourrait dire de lui qu’il est la force de la résistance.
Il est le véritable auteur de la chanson « Résiste, prouve que tu existes » !
Découvrons, grace à l'histoire de Yossef et ses frères comment donner à chacun de nos enfants un sentiment d'unicité et d'importance et valorisons la singularité de ceux qui nous entourent.
Apprenons à voir au-delà du visible, en s'appuyant sur la triade tragique (deuil, culpabilité, souffrance) décrite par Viktor Frankl. Face à l'épreuve certains sombrent, d'autres se relèvent.
Dans cette paracha remplie de nissim (miracles), nous explorons les relations dans la fratrie à travers le vécu de Yossef, personnage le plus émotif de la Torah.
Comment se rapprocher ? Comment trouver le ton juste ? La bonne distance ? Comment faire un reproche à ceux qui nous sont chers afin que ce soit constructif ?