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Le peuple juif est le peuple du paradoxe: lorsqu’il est asservi, il se multiplie. Le Livre de Chemot, par l’exemple des épreuves vécues en Égypte, nous montre le chemin pour affronter les souffrances dans l’exile dans lequel nous nous trouvons.
Cours sur la paracha de Ki Tissa
Cette semaine, débute la terrible épreuve à l’échelle collective pour les enfants d’Israël, avec l’esclavage en Égypte.
Asservis, opprimés, les Bnei Israël font preuve de résilience et courage. A travers leur exemple, les femmes juives, et sages femmes en Égypte, sèment cette notion fondamentale de « choisir la vie », commandement qui suivra le peuple juif tout au long de son histoire.
Ki tissa est une paracha qui nous invite à grandir comme l’indique son titre.
Pourtant ce désir de hauteur, quand il est mal orienté peut générer des erreurs colossales.
En quoi consistait vraiment la faute du veau d’or ? Quelle a été son utilité ?
La paracha Beaaloteha rapporte une série de plainte formulées par les Bnei Israël dans le désert. Près d’un an après la sortie d’Egypte, Moshé doit faire face à un peuple insatisfait, pourtant bénéficiaire de la protection divine.
Pourtant, la plainte n’est pas forcément négative. Elle peut s’inscrire dans une démarche positive d’évolution.
Dans la paracha Shla'h, Moshé envoie des explorateurs, pour découvrir et préparer l’entrée en terre d’Israël. Loin d’en louer les bienfaits, leurs critiques effraient le peuple d’Israel.
Comme en réponse à ce douloureux événement, la Torah nous offre la merveilleuse mitsva de la Hafhachat Hala - pour nous reconnecter à la Terre, et à notre Emouna.